Consolation

Grand Dictionnaire de la langue française numérisé

• n.f. Sujet de satisfaction, de joie au milieu des épreuves : Son fils lui donne de grandes consolations.
• n.f. Personne ou chose qui peut consoler : Sa fille est pour lui sa seule consolation.
• n.f. Œuvre littéraire latine d'inspiration philosophique, proche à la fois de la lettre et du traité de morale pratique.
• n.f. Soulagement apporté à un chagrin, à la peine de quelqu'un.

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• n. Soulagement donné à l’affliction, à la douleur, au déplaisir de quelqu’un.
• n. Véritable sujet de satisfaction et de joie.
• n. (Souvent au pluriel) Discours, raisons que l’on emploie pour consoler quelqu’un.
• n. La chose ou de la personne même qui console.

Le littré

• Sens 1: Allégement de ce qui peine. Être privé de consolation. Écrire une lettre de consolation. J'ai de la consolation à penser que vous prenez part à mes peines.
• Sens 2: Sujet de satisfaction ou d'allégement de peine. C'est une grande consolation pour un père de voir ses enfants se porter au bien.
• Sens 3: Raisons que l'on emploie pour consoler quelqu'un. Adresser, recevoir des consolations. Titre de quelques ouvrages de philosophie morale. Les Consolations de Boèce.
• Sens 4: La personne ou la chose même qui peut consoler.
• Sens 5: Terme de jeu de cartes. Fiche de consolation, celle que l'on donne en surcroît de bénéfice. Fig. Fiche de consolation, dédommagement, adoucissement. On l'a envoyé en province, mais, pour fiche de consolation, on a augmenté son traitement. Populairement. Débits de consolation, nom qu'on donne, par dérision, aux cabarets où l'on débite de l'eau-de-vie aux gens du peuple.

Wiktionnaire

• Soulagement donné à l’affliction, à la douleur, au déplaisir de quelqu’un.
• Véritable sujet de satisfaction et de joie.
• (Souvent au pluriel) Discours ou raisons que l’on emploie pour consoler quelqu’un.
• La chose ou de la personne même qui console.
• (Désuet) (Argot) Eau-de-vie.