Gémir

Grand Dictionnaire de la langue française numérisé

• v. intr. Littéraire. Faire entendre un cri, un son plaintif : Le vent gémit dans les arbres.
• v. intr. Littéraire. Souffrir écrasé par une oppression, une torture, etc. : Gémir sous la tyrannie.
• v. intr. Exhaler sa peine, sa douleur, par des sons plaintifs, inarticulés, par des plaintes : Un malade qui gémit (de douleur).

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• v. Exprimer sa souffrance d’une voix plaintive et non articulée.
• v. (Figuré) Se plaindre sous l’excitation de la tyrannie, de l’injustice, du malheur, etc.
• v. Pousser un cri languissant et plaintif, en parlant de certains oiseaux.
• v. (Figuré) (Poétique) Faire entendre quelque bruit, quelque murmure, en parlant de choses inanimées.
• v. (En particulier) Se dit des choses qui s’affaissent sous le poids, sous la pression d’une autre, ou que l’on suppose ne pouvoir la soutenir qu’avec effort.
• v. (Figuré) Par plaisanterie, Faire gémir la presse : Faire beaucoup imprimer. Se dit surtout des écrivains qui sont plus remarquables par leur fécondité que par leur talent.

Le littré

• pas de définition

Wiktionnaire

• Exprimer sa souffrance d’une voix plaintive et non articulée.
• (Figuré) Se plaindre sous l’excitation de la tyrannie, de l’injustice, du malheur, etc.
• Pousser un cri languissant et plaintif, en parlant de certains oiseaux.
• (Figuré) (Poétique) Faire entendre quelque bruit, quelque murmure, en parlant de choses inanimées.
• (En particulier) Se dit des choses qui s’affaissent bruyamment sous le poids, sous la pression d’une autre, ou que l’on suppose ne pouvoir la soutenir qu’avec effort.
• (Figuré) Par plaisanterie, Faire gémir la presse : Faire beaucoup imprimer. Se dit surtout des écrivains qui sont plus remarquables par leur fécondité que par leur talent.