étendard

Grand Dictionnaire de la langue française numérisé

• n.m. Littéraire. Symbole d'une cause pour laquelle on combat ; signe de ralliement : Lever l'étendard de la révolte.
• n.m. Pétale supérieur, dressé et étalé, de la corolle d'une papilionacée.
• n.m. Enseigne de guerre et, notamment, drapeau de troupes autrefois à cheval.

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• n. Drapeau, en particulier militaire et terrestre ? voir pavillon pour la marine.
• n. (Botanique) Pétale supérieur des fleurs de la famille des Fabacées (ou Légumineuses).

Le littré

• Sens 1: Toute sorte d'enseigne de guerre.
• Sens 2: Aujourd'hui, en termes militaires, étendard ne se dit que des enseignes de la cavalerie. Se ranger sous l'étendard.
• Sens 3: Fig. L'étendard, le parti sous lequel on se range. Suivre les étendards de, se ranger sous les étendards de, combattre sous les étendards, arborer l'étendard de, c'est-à-dire embrasser le parti de, s'attacher à. Lever l'étendard, se déclarer chef d'un parti, d'une faction. Lever, arborer l'étendard de la révolte, se révolter. Lever l'étendard, pratiquer avec ostentation quelque chose.
• Sens 4: Étendard désignait autrefois, sur les galères, ce qu'on nomme aujourd'hui pavillon sur les vaisseaux.
• Sens 5: Terme de botanique. Pétale supérieur des fleurs papilionacées.
• Sens 6: Sorte de papier.

Wiktionnaire

• (Botanique) Pétale supérieur des fleurs de la famille des Fabacées (ou Légumineuses).
• (Héraldique) Meuble représentant le drapeau du même nom dans les armoiries. Il est représenté rectangulaire, accroché à une hampe parfois surmontée d’une pointe de lance et orienté à senestre. À rapprocher de bannière, gonfanon, guidon, oriflamme, pavillon et pennon.