Détour

Grand Dictionnaire de la langue française numérisé

• n.m. Itinéraire, parcours qui s'écarte de la voie directe ; distance supplémentaire qui en résulte : Faire un détour pour éviter un embouteillage.
• n.m. Au Canada, déviation de la circulation obligeant les usagers à quitter l'itinéraire direct et à emprunter une ou plusieurs autres routes.
• n.m. Moyen indirect de faire, de dire, ou d'éluder quelque chose ; biais, faux-fuyant : Que de détours pour expliquer une chose aussi simple !
• n.m. Trajet, tracé sinueux d'une voie, d'un cours d'eau ; coude, courbe, virage qu'il comporte : Une route qui fait des détours.

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• n. Action de s’écarter du chemin direct.
• n. Endroit où un chemin change de direction.
• n. Chemin qui éloigne du droit chemin.
• n. (Figuré) Longueur, digression inutile.
• n. (Figuré) (Surtout au pluriel) Discours dans lesquels on ne s’exprime que d’une manière indirecte, par crainte ou par ménagement, par délicatesse, etc.
• n. Sorte de biais, de moyens adroits, de ruse, de subtilité, pour éluder quelque chose, pour venir à bout de ce qu’on veut faire.

Le littré

• pas de définition

Wiktionnaire

• Action de s’écarter du chemin direct.
• Endroit où un chemin change de direction.
• Chemin qui éloigne du droit chemin.
• (Figuré) Longueur, digression inutile.
• (Figuré) (Surtout au pluriel) Discours dans lesquels on ne s’exprime que d’une manière indirecte, par crainte ou par ménagement, par délicatesse, etc.
• Sorte de biais, de moyen adroit, de ruse, de subtilité, pour éluder quelque chose, pour venir à bout de ce qu’on veut faire.
• (Plus rare) (Au pluriel) Environs.